NON À LA GUERRE

Nous devons réfléchir en tant que personnes, en tant qu'êtres humains, en tant qu'êtres rationnels dotés de la capacité d'auto-jugement, pour comprendre que nous n'avons plus besoin et que nous ne devons plus vivre intégrés dans des unités armées que nous appelons des États ou des pays qui affrontent les autres, car, évidemment, , la prise de décision exclusive - inévitable dans le passé - équivaut à une confrontation. Pourquoi insister là-dessus, s'il vous plaît..... ?

Nous devons vivre ensemble, coexister, prendre des décisions inclusives, rendre compte et partager nos objectifs avec les autres, évitant ainsi l'objectif de nuire, recherchant le bien et le bénéfice commun, et la communication ou le partage sont également des moyens incontournables de coopération. c'est-à-dire éliminer les armes/États (et l'injustice ou l'inégalité hiérarchique pyramidale et abusive qu'ils entraînent en tant qu'armes intégrées), sinon nous sommes leur chair à canon (même si nous confessons notre amour pour cette arme, que nous appelons une nation pour mettre davantage en valeur la partie viande) et la seule chose que nous faisons et pouvons faire est de chercher à augmenter le pouvoir destructeur de notre arme en essayant d'empêcher que cela n'arrive à d'autres.

Le problème est que nous vivons en servant l’État d’une manière ou d’une autre et il nous dit qui haïr et nous devons obéir. Comment alors le résoudre ? Je vous l'ai déjà dit, il faut d'abord oser réfléchir, bien sûr, et le faire par simple publicité, par la simple communication de la proposition d'unité humaine qui n'implique aucun préjudice ni risque pour nous-mêmes ou pour notre nation. Avec sérénité et prudence, oui, car ceux qui ne disposent toujours pas de cette information restent dans une guerre absolue – la gestion de la haine, mais vous pouvez aussi être sûrs qu'ils la comprendront et que dans notre monde globalisé, nous coexistons déjà avec tous les humains de afin qu'il ne reste pas une seule personne qui ne le considère pas comme acquis ou qui n'en soit pas conscient.

Ou préférez-vous et décidez-vous que le massacre continue et que notre pas ferme vers notre auto-extermination ? Je ne pouvais pas te croire. Et il est trop tard pour attendre.