Si l’homme a la faculté d’avoir de grandes ambitions pour sa vie, et dispose naturellement des capacités nécessaires de les accomplir, qu’est-ce qui donc amène bon nombres d’entre nous à désespérément continuer par réajuster leurs plans d’affaires et à tenter de changer leurs belles idées du départ, même à 45 voire 50 ans ? Est-ce Dieu, lui-même ou son entourage ? Qui trompe qui réellement ? Que deviendrez-vous dans les 10 prochaines années ? De belles idées déjà n’est-ce pas ? Alors, qu’aviez-vous projeté sur votre vie il y a 10 ans ? Vous avez le remord ? C’est ainsi. Pourtant, vous pouvez encore y faire grandes choses. Le maitre, c’est vous ; l’acteur, c’est encore vous. Il n’y a même pas de gourou compétent à ce sujet. Ce qui est noble et intéressant, c’est que vous avez encore le choix de décider de ce qui adviendra. Le terrain est libre. On peut choisir de quitter cette terre comme un Mouton ou un Prince. Un mouton, c’est mon oncle Koffi décédé dans mon village sans aucuns échos et espérance ; un Prince, c’est celui dont la disparition constitue une gêne pour une nation, un continent voire un monde. Vous choisissez quoi ? Vous contentez de faire les choses ordinaires comme nos ancêtres ? La bonne nouvelle une fois encore, c’est toi qui décide. Regardez à vos actes quotidiens et devinez votre destination. C’était une réflexion d’ensemble. A défaut de nos ambitions, on pouvait parvenir au moins à se découvrir non ? Chaque année finit chaque fin de jour, chaque fin de semaine et chaque fin du mois. Aucune année ne finit au 31 Décembre ; c’est une illusion. Elle finit tous les jours. 20, 30, 40, 50 et 70 ans ne sont pas l’image que vous faites dans la tête. Ces chiffres se décomposent toutes les secondes ; même quand j’écris, quand je dors, quand je ris, quand je me fâche, quand je suis indisposé … ; je dois à chaque fois penser à comment évoluer au fur et à mesure que mon âge évolue.
Si l’homme a la faculté d’avoir de grandes ambitions pour sa vie, et dispose naturellement des capacités nécessaires de les accomplir, qu’est-ce qui donc amène bon nombres d’entre nous à désespérément continuer par réajuster leurs plans d’affaires et à tenter de changer leurs belles idées du départ, même à 45 voire 50 ans ? Est-ce Dieu, lui-même ou son entourage ? Qui trompe qui réellement ? Que deviendrez-vous dans les 10 prochaines années ? De belles idées déjà n’est-ce pas ? Alors, qu’aviez-vous projeté sur votre vie il y a 10 ans ? Vous avez le remord ? C’est ainsi. Pourtant, vous pouvez encore y faire grandes choses. Le maitre, c’est vous ; l’acteur, c’est encore vous. Il n’y a même pas de gourou compétent à ce sujet. Ce qui est noble et intéressant, c’est que vous avez encore le choix de décider de ce qui adviendra. Le terrain est libre. On peut choisir de quitter cette terre comme un Mouton ou un Prince. Un mouton, c’est mon oncle Koffi décédé dans mon village sans aucuns échos et espérance ; un Prince, c’est celui dont la disparition constitue une gêne pour une nation, un continent voire un monde. Vous choisissez quoi ? Vous contentez de faire les choses ordinaires comme nos ancêtres ? La bonne nouvelle une fois encore, c’est toi qui décide. Regardez à vos actes quotidiens et devinez votre destination. C’était une réflexion d’ensemble. A défaut de nos ambitions, on pouvait parvenir au moins à se découvrir non ? Chaque année finit chaque fin de jour, chaque fin de semaine et chaque fin du mois. Aucune année ne finit au 31 Décembre ; c’est une illusion. Elle finit tous les jours. 20, 30, 40, 50 et 70 ans ne sont pas l’image que vous faites dans la tête. Ces chiffres se décomposent toutes les secondes ; même quand j’écris, quand je dors, quand je ris, quand je me fâche, quand je suis indisposé … ; je dois à chaque fois penser à comment évoluer au fur et à mesure que mon âge évolue.
